Les propriétaires de bars et restaurants demandent à Québec de permettre la réouverture de leurs établissements pour accueillir les gens vaccinés.
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COVID-19: les bars et restaurants veulent rouvrir pour les personnes vaccinées
« Les conditions sociales et économiques de l’existence sont un continuum qui ne s’interrompt pas en temps de guerre. L’escalade des conflits armés crée un contexte favorable à la rupture des limites imposées par l’ordre précédemment établi, permettant l’établissement d’un ordre nouveau. L’ordre imposé, dont les impératifs seraient inacceptables avant le conflit, est favorablement accueilli suite au désordre engendré par la destruction militaire généralisée. » notais-je en janvier 2018 à propos de « la guerre qui vient ».
Apparemment, la crise sanitaire procède à cet égard de manière parallèle aux conflits armés. Le texte qui précède n’est pas non plus sans jeter une certaine lumière sur les raisons véritables de l’actuelle pandémie :
« Considérer les conséquences matérielles, humaines, sociales et financières comme corollaires inévitables et indépendants des raisons géopolitiques ou inter-ethniques initiatrices des conflits armés est un erreur fondamentale. Elles sont dorénavant (et ce au moins depuis la moitié du XVIIe siècle) les raisons premières des guerres, dont les secondes ne sont ni plus ni moins que les alibis. Les guerres sont aujourd’hui, avant toute autre considération, des opérations financières. »